Ode à mon mannequin en scotch et à ma robe d'été itou
A quoi ça sert d'avoir un mannequin sur mesure, si on ne peut pas faire de retouches de vêtement avec ?
Ou : comment reprendre un sac à patates (pour mémoire, je remets cette image formidable vue chez elle)
pour en faire une jolie vraie robe d'été, absolument adaptée à ma morphologie presque parfaite, dirons-nous... en toute modestie, bien sûr.
Restons des gens modestes.
Malgré plusieurs moments de doute (les éléments sont contre moi) après que le fil ait cassé trois fois, que le tissu pourtant bien épinglé - détail à noter, car ça n'arrive presque jamais, car j'ai une fâcheuse tendance à coudre à l'arrache - se soit mis à se plier sous le pied, donc couture à refaire, après que le fil se soit désenfilé 40 fois de l'aiguille et que la tension du fil pourtant réglée soit finalement à désirer...
Bref, après que j'ai failli exploser la tête à cette p****n de machine à coudre m'énerver sérieusement, le mirââââââcle du dimanche après-midi post-goûter a jailli...
TADAM !
Finies les robes informes et pochlost, finies les photos prises dans le miroir avec les traces de poussière !
(Par contre, les travaux ne sont pas finis, ni les rideaux d'ailleurs).
Je me demande si je vais dormir avec mon mannequin, tiens...